Peu avant ses 20 ans, Francine a eu un accident de voiture. Les blessures provoquées par l'accident ont causé des fuites d'urine quand elle avait des éclats de rire ou qu'elle éternuait. Elle a géré son incontinence sans trop de difficulté jusqu'au moment où elle s'est trouvée enceinte aux alentours de 30 ans, c'est alors qu'elle a remarqué que son incontinence devenait plus fréquente.
Francine a eu son second enfant vers 35 ans, et son incontinence est devenue un problème d'envergure. C'est souvent qu'elle n'arrivait pas aux toilettes à temps, même au milieu de la nuit. Il lui est aussi devenu impossible de jouer activement avec ses enfants - les efforts physiques fournis quand elle devait courir ou sauter occasionnaient une perte d'urine.
Les déplacements en voiture sont également devenus pénibles, et finalement elle a évité de boire de l'eau avant de se rendre quelque part, même s'il s'agissait d'une courte distance.
À 37 ans, Francine a décidé de prendre la situation en main et de perdre l'excès de poids corporel qu'elle avait gagné au cours de sa seconde grossesse. Puis elle a pris rendez-vous chez son médecin. Il l'a orientée vers un urologue qui a conduit un examen minutieux avant de la diriger vers une physiothérapeute. Cette dernière a expliqué à Francine la façon de pratiquer les exercices de Kegel, et elle lui a appris à tirer parti de la rétroaction biologique et de la rééducation vésicale. Les exercices physiques l'ont aidée à réduire le volume de ses pertes d'urine, et aujourd'hui elle peut patienter de 60 minutes à 90 minutes avant d'uriner. Francine continue à pratiquer les exercices de Kegel et de rééducation vésicale pour pouvoir continuer à accroître cet intervalle de temps.
L'histoire de Francine est fondée sur celles de personnes ayant été dans la même situation.
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