Vous trouverez ci-dessous certains des facteurs qui peuvent augmenter le risque d'avoir une vessie hyperactive ou en amplifier les symptômes.
Habitudes de vie et médicaments :
- les habitudes alimentaires, en particulier la consommation de certaines boissons (par ex. la caféine ou l'alcool).
- une consommation excessive de liquides. Il est possible que votre médecin vous demande de limiter votre consommation de liquides afin qu'elle se situe entre 1 et 1,5 litres par jour. Cependant, ne modifiez pas la quantité de liquides que vous buvez sans en avoir d'abord discuté avec votre médecin.
- certains médicaments, comme les diurétiques.
Affections médicales :
- la constipation,
- la démence,
- le diabète,
- la sclérose en plaques,
- la maladie de Parkinson,
- une intervention chirurgicale récente (par ex. une chirurgie orthopédique ou une intervention sur la vessie ou les organes reproducteurs),
- des lésions de la moelle épinière,
- un accident vasculaire cérébral (AVC),
- la maladie d'Alzheimer,
- une hypertrophie de la prostate,
- des infections des voies urinaires,
- une tumeur ou une inflammation de la vessie,
- des troubles du sommeil,
- une insuffisance cardiaque.
Par ailleurs, le risque de vessie hyperactive augmente avec l'âge. Les symptômes de vessie hyperactive ne doivent toutefois pas être perçus comme une « conséquence normale du vieillissement ». Il existe des traitements, alors, si vous croyez souffrir de vessie hyperactive, consultez votre médecin. Si vous n'êtes pas certain que vos symptômes sont dus à la vessie hyperactive, répondez à notre
Questionnaire d'évaluation sur la vessie hyperactive et parlez-en à votre médecin.